Interviews et actu du salon SAVIM Marseille Printemps 2018


25/03/18 : INTERVIEW : DES NOUVELLES DE SÉBASTIEN METOYER, CHOCOLATIER CONFISEUR

Sébastien METOYER
Chocolatier confiseur de génie
Stand J5

Au Savim, on ne présente plus Sébastien METOYER, tant cet homme démontre, chaque année, une passion rarement égalée et une créativité, disons-le franchement, fulgurante.

Nous tenions à faire un petit focus sur ses nouveautés, car, il y en a pour tous les goûts cette année.

>> On remarquera d’abord l’arrivée de confiseries auxquelles Sébastien METOYER a fait une place de choix.

> Des sucettes en sucre coulé traditionnel, aux saveurs provenant des plantes aromatiques du jardin du confiseur. Orange, citron, violette, fraise des bois, anis,…

> Cette année arrivent les pâtes de fruits maison. Maison, car Sébastien METOYER utilise les fruits… et légumes qu’il cultive. 250 framboisiers poussent dans le « jardin » du confiseur, et nous avons le plaisir d’en retrouver les belles et grosses framboises en pâte de fruits. Du fruit concentré en bouche, avec une juste touche de sucre. Plus surprenant mais non moins délicieux, une pâte de fruits de betterave rouge, qui révèle les arômes de la terre, et tout cela en finesse !

>> Pour ce qui est du chocolat, encore des merveilles des trouvailles et du plasiiiir !

> Pour bien commencer, une tablette gourmande du Piémont déclinée en chocolat noisettes, ou chocolat /noisettes et fruits.

> Quelques grands crus de cacao de Madagascar à 80, 90 et 100% sous la forme de petites plaques fines de dégustation. A emporter partout et en toute discrétion :) Le 100% est une explosion en bouche. Incomparable avec ce que l’on peut trouver dans le commerce… disons… généraliste !? Donc, pour savoir, il faut goûter !

> Nous vous avions parlé du chocolat condiment de Sébastien METOYER, cette merveilleuse déclinaison du chocolat aux arômes naturels pour accompagner vos viandes ou vos poissons, voire votre coupe de champagne. Cette année, Sébastien METOYER nous présente la Clementina, réalisée avec le bourgeon du clémentinier. On retrouve la note de la clémentine grâce au bourgeon, mais aussi la verveine et la citronnelle grâce à la feuille. Une merveille sur des poissons ou des Saint Jacques. Totalement inimaginable avant d’avoir dégusté.

> Enfin, Sébastien METOYER ne pouvait pas oublier Pâques ! Pour l’occasion, il nous propose une déclinaison de sucettes en chocolat et des sujets de toute beauté. Idéal pour les petits et les grands enfants, pour les yeux et les papilles.

Merci Sébastien METOYER.


25/03/18 : INTERVIEW : FERME DE VALMALLE, (châtaignes bio et produits dérivés)

FERME DE VALMALLE
Châtaigne des Cévennes
Stand R12

Melissa BRUN est productrice de châtaigne avec son mari. Elle travaille la châtaigne BIO sous toutes ses formes. Confiture, sirop de châtaigne, purée, farine,…

Notre toute première question : quelle différence entre crème de marrons et confiture de châtaigne ?
« Nous avons décidé d’utiliser le terme de confiture de châtaigne pour nous différencier de la crème de marrons industrielle, même si certains industriels utilisent aussi le terme confiture de marrons ».

En effet, la couleur de la confiture de châtaigne de la ferme de Valmalle est beaucoup plus claire que la plus célèbre des crèmes de marrons trouvée en grande surface.

Pourquoi ? Parce que la crème de marrons de la grande distribution n’épluche pas ses châtaignes. Les châtaignes de la grande distribution sont pressées entières, avec leurs deux peaux. A la ferme de Valmalle, on épluche les deux peaux des châtaignes avant d’en faire de la purée ou de la confiture. Cela permet d’éviter l’ajout de vanille et de sucre pour masquer le goût tannique et l’âpreté de la peau.

A la ferme de Valmalle, dans 100 grammes de produit fini, il y a 60 gr de fruit et 40 gr de sucre. Dans l’industriel, il y a, en général, plus de sucre que de fruit.

Comment se déroule la récolte ?
Des filets sont placés sous les arbres au mois de Septembre. Les châtaignes sont récoltées au mois d’octobre. La transformation se fait en novembre et en décembre.

Les châtaigniers sont bio. Ils ne sont pas traités, qu’ils soient vieux ou jeunes. Un troupeau de 65 brebis nettoie le sol, ce qui évite tout désherbant.

L’exploitation fait 80 hectares au total dont 10 hectares dédiés à la châtaigneraie. Cela représente un peu moins de 1000 châtaigniers.

Un véritable plaisir à la dégustation et une découverte, une fois de plus, de nouvelles saveurs qui nous orientent naturellement vers les produits du terroir.


25/03/18 : INTERVIEW : MAISON MARC, DERNIER PRODUCTEUR DE CORNICHON FRANCAIS

Maison MARC
Producteur de Cornichons

La maison MARC n’est rien moins que le dernier producteur de cornichons.
En 2004, le leader français du cornichon met fin à ses contrats avec les producteurs de cornichons français pour exporter ses usines notamment en Inde. Le résultat est sanglant : tous les producteurs français disparaissent, sauf un : l’entreprise familiale de cornichons MARC.

Pourquoi, car Florent JEANNEQUIN, le petit-fils, décide de ne pas se laisser abattre aussi simplement.
Il se bat. Il capitalise sur le 100% français et crée la marque « Maison MARC ».

 

Il se positionne haut de gamme et décline une gamme de 4 recettes de cornichons :
- Cornichons extra-fins
- Cornichons fins
- Cornichons aigre-doux
- Cornichons Malossol

Conscient que les consommateurs critiquent l’omniprésence du vinaigre de façon générale, il l’adoucit avec de l’eau et précise ses recettes pour que le goût du cornichon reprenne sa vraie place.

Les cornichons de la maison Marc sont désormais sur les plus grandes tables de France et aussi sur celle de l’Elysée. Pourquoi pas la nôtre !
 
Rendez-vous sur le stand P1, rencontrez Florent JEANNEQUIN, et constatez la différence entre le cornichon « grande distribution » et le vrai cornichon de la maison Marc. En somme, croquez un cornichon pour la première fois !

Il faudra certes y mettre le prix et peut-être, prendre le temps de la dégustation. Mais en France, on récolte le cornichon une fois par an. En Inde, ce sont 4 récoltes. Le coût du travail et les rendements ne sont pas les mêmes là-bas qu’en France.
Et… Pas d’herbicide, pas d’insecticide et sans conservateur. La nature et le goût sont dans les bocaux de la Maison Marc.
A vous de voir…


25/03/18 : DES NOUVELLES DE VICTOR DELPIERRE ET DE LA MAISON CASALINI

DES NOUVELLES DE VICTOR DELPIERRE
Stand Glaces Casalini
Stand J1

Victor DELPIERRE nous présente 3 nouveautés pour cette édition de Printemps 2018 :

37 SPICY : Le nouveau rhum 2018
Il s'agit d'un "spiced rum", un rhum épicé à 37° spécialement imaginé pour les amateurs de rhums de dégustation et les barmans/mixologues pour leurs créations cocktails.

Orange, cannelle, cardamone, clou de girofle donnent au rhum des notes épicées intenses.
A découvrir.

GIN MERIDOR - London dry gin from the Loire Valley
Victor Cocktails Delpierre
Distillé à Saumur dans des alambics mis en place par Gustave Eiffel en 1834, la dernière création "haute couture" de la distillerie Combier est réalisée à partir de genièvre et de coriandre, de fleurs de sures et de roses de la lire ainsi que de cubeb pour lui donner toute sa finesse et son caractère.
Médaille d'or à l'International Wines & Spirits Compétition en 2017

GLACES COCKTAILS® : la nouveauté présentée en primeur lors du SAVIM Printemps 2018, des glaces aux parfums de cocktails. Une collaboration exclusive avec la Maison Casalini, maître artisan glacier depuis 1962 et Victor Delpierre, Champion du Monde de cocktails-Barista.


25/03/18 : LES ROBES DE L'EST (vin de Croatie)

LES ROBES DE L’EST
Vins de Croatie
Stand N12


A la découverte des cépages autochtones de Croatie.
La société "Les Robes de l'Est" soutient une viticulture ancestrale au travers de l’élevage de cépages autochtones. Vous y découvrirez des vins aux arômes singuliers, provenant des petites propriétés, reflet d’une viticulture saine.
www.lesrobesdelest.com
#lesrobesdelest


25/03/18 : INTERVIEW : FAUSONE 1948 - (huile olive bio et produits truffe)

Et si on parlait du terroir du même territoire (Piémont), nous avons une autre nouveauté Printemps 2018 : huile d'olive bio et produits à base de la truffe blanche d'Alba - Olio Fausone

Depuis soixante ans, Fausone 1948, Olio & Tartufi est spécialisée dans la truffe noire et blanche d'Alba et dans l'huile extra vierge d'olive biologique. L'entreprise est située dans le Piémont.
Depuis des années elle suit constamment la qualité de chacun de ses produits ; chaque produit en pot se conserve 2 ans, permettant à ses clients de déguster toutes les meilleures saveurs de la truffe piémontaise durant les 12 mois de l'année.


25/03/18 : ENTREPRISE SACCO - (noisette du Piémont IGP)

Entreprise Agricole SACCO
Noisettes IGP du Piémont
Stand D1

L'entreprise agricole Sacco est une entreprise familiale. Elle travaille le terroir dans la plus pure tradition, détentrice d’un savoir-faire de plusieurs générations.

Depuis de nombreuses années, l'entreprise transforme son produit phare : la Noisette de Piémont IGP (d'Indication géographique protégée), la célèbre « Tonda Gentile delle Langhe ». Elle est unanimement réputée pour être la meilleure du marché mondial de la noisette.

L'entreprise est située dans la ville de Mango, dans les Langhe de la région du Piémont, au milieu des vignes et des noisetiers, à 15 km environ d'Alba, ville célèbre dans le monde entier pour la qualité de ses produits : vins, noisettes, truffe blanche.

Année après année, la gamme de produits de l'entreprise a augmenté, passant de la récolte de noisettes de Piémont IGP, à sa préparation et transformation en excellents produits à base de noisettes.

Ce constant désir d'expérimenter se traduit par une innovation continue et une croissance constante.

Contacts de l'entreprise concernant les médias sociaux:
INSTAGRAM: @aziendaagricolasacco
FACEBOOK: / nocciolesacco


24/03/18 : INTERVIEW : LE PAIN DE MAIN (Pain de garde d'Olivier LATASTE)

LE PAIN DE MAIN
Pain de garde
Espace restauration

Vous pensiez savoir ce qu’est du pain ?
Alors lisez…

Olivier LATASTE est boulanger depuis 27 ans. Une vocation née à 14 ans !
Il fait du pain de garde. Vous savez, ce pain qu’à l’époque on pouvait garder une semaine et qui, même avec les jours qui passaient, gagnait en saveur. Un pain que beaucoup d’entre nous n’ont pas connu ou n’en connaissent même pas l’existence. Un pain qui pouvait faire jusqu’à 2 kg, soit l’équivalent de 10 baguettes. Un pain que l’on achetait une fois par semaine.

Chez les LATASTE, on est fromager, boulanger, coutelier. Tous ont été happés par la terre ou la matière, et tous sont des philosophes de la vie, la vraie, celle qui prône l’équilibre.
Et cet équilibre est au Cœur de leur travail, qui n’est autre qu’une passion de vivre.

Il faut d’abord savoir que le pain d’Olivier LATASTE est préparé avec une seule variété de blé dite autosuffisante, car elle possède toutes les qualités pour faire du pain, alors que notre pain « quotidien » est le plus souvent fait avec 6 à 12 variétés de blés modernes présentant de réels défauts. Le blé s’appauvrit car on pratique une culture déraisonnée. On comble les défauts d’une variété avec les qualités d’une autre et ainsi de suite. Pour enfin y ajouter des additifs et des améliorants… chimiques.

Olivier LATASTE travaille notamment une vieille variété de blé du « Petit Meunier d’Apt », une variété abandonnée il y a longtemps puis relancée. Cette variété est « autochtone » dans le Luberon. « Le blé prend le goût du terroir. Si on le plante ailleurs, il perdra son goût d’origine, c’est comme pour la vigne ».
Cette variété est cultivée dans le respect de la terre. Pas de labour profond. Juste un griffage de la terre. Puis on sème. Donc moins de rendement mais des blés plus typés en goût.
« Sur les blés modernes, les rendements sont de 100 à 120 quintaux à l’hectare. Alors que sur les vieilles variétés, les rendements sont de 15 à 20 quintaux à l’hectare. Donc il est évident qu’à la fin, on ne mange pas la même chose. »

Olivier LATASTE privilégie autant que possible des vieilles variétés de blé comme du « Rouge de Bordeaux » ou le « Petit Meunier d’Apt » comme nous l’expliquions.
Le boulanger avoue avoir des difficultés à trouver la farine qu’il souhaite. « Si le métier a un secret, ce serait alors la compréhension de la matière. Peut-être que pour la comprendre encore mieux, il faudrait faire pousser du blé. Nous y viendrons d’ici quelques années ».

Pour faire du vrai pain, il faut du temps.
Et Olivier LATASTE dit de son métier de boulanger « qu’il sort de son temps », car on ne se donne plus le temps, ni les moyens pour faire du vrai pain. Ce n’est « pas rentable » selon les critères de la société actuelle. Selon Olivier LATASTE, « le vrai secret, c’est qu’il n’y en a pas, c’est le temps de faire dans les règles de l’art ».

- Du temps pour faire pousser le blé qui puise ses minéraux et ses nutriments dans une terre saine, qui n’est pas fatiguée car on lui laisse le temps de se régénérer.
- Du temps pour meuler le blé selon la tradition.
- Le bon moment pour utiliser la farine et ne pas la laisser s’oxyder.
- Du temps pour faire fermenter le levain (entre 15 et 18h).
- Du temps pour cuire.
- Du temps pour vendre le pain en expliquant qui il est, d’où il vient, et comment il a été travaillé.

Du temps en somme pour lui donner un sens afin qu’à chaque bouchée, vous ayez la certitude de nourrir votre corps avec de bonnes choses issues du terroir et d’une terre en forme, et pas avec des mélanges, des additifs et des améliorants, le tout dans une course effrénée à la production et à la vente.

Lorsqu’on lui fait la remarque de ses prix abordables voire compétitifs, Olivier LATASTE répond « qu’on est en dessous de ce qu’il faudrait être, mais c’est un choix et un sacrifice. Tout le monde me dit que je suis bête, mais c’est ma philosophie. On peut aller sur les marchés fiers et la tête haute. »

« L’évolution, c’est de revenir à la terre ».


24/03/18 : INTERVIEW : BRASSERIE ROUGET DE LISLE (Bière du Jura)

BRASSERIE ROUGET DE LISLE
Bière artisanale (blonde, blanche, ambrée, brune, fruits)
Stand T1

Que donne un cuisinier passionné, initié à la bière par son grand-père, qui un jour décide de faire sa bière avec son père à la maison, qui monte un restaurant en 1992 dont la carte n’est composée que de plats (de l’entrée au dessert) intégrant la bière comme ingrédient à part entière, qui chine 340 bières de 43 pays pour vous les proposer, et qui en 1994 se dit « et si je faisais ma bière ? » ? Et bien, cela donne un artisan maître brasseur de génie généreux !

Bruno MANGIN, jurassien, est un homme rare qu’il faut rencontrer. Barbe longue, petites lunettes rondes et surtout passionné derrière un air flegmatique. Une originalité extérieure que l’on retrouve dans toutes ses créations. De la bière au whisky, en passant par la vodka.
Si vous voulez déguster de LA bière, allez à la Brasserie Rouget de Lisle stand T1, et écoutez Bruno MANGIN vous raconter son histoire.

Dès l’école hôtelière, Bruno MANGIN parcourt le monde pendant 3 ans. Par la suite, il devient cuisinier globe-trotter. Ne buvant que de la bière, ses voyages deviennent tous initiatiques. Chaque bière dégustée aiguise son palais.

En 1992, il ouvre son restaurant au concept assez unique : proposer des plats TOUS cuisinés à la bière.
En 1994, il décide de créer sa première bière dans sa cuisine qu’il propose aux clients de son restaurant. Verdict : délicieux !

Top départ pour Bruno MANGIN qui devient artisan brasseur. « Une recette de bière c’est comme une recette de cuisine : à l’instinct ! ». Les matières premières sont toutes du Jura.
« On fabrique aujourd’hui la bière comme on la fabriquait il y a 25 ans ! ». Aujourd’hui ce sont 20 bières différentes proposées à la vente.

Durant 10 ans, il est récompensé très régulièrement au Concours Général Agricole, oscillant entre l’or et le bronze.

Bruno MANGIN ne s’arrête pas là. Il crée son Whisky et sa vodka, considérant cette évolution comme une suite naturelle.

Et encore plus loin, il crée sa gamme « Esprit de bière ».
- Une première bière vieillie 3 ans en fût de chêne, à laquelle sont ajoutées des cerises les 6 derniers mois.
- Une seconde, travaillée comme le champagne, refermentée dans la bouteille, mises sur claie, mise sur trépieds, dégorgée. 4000 bouteilles d’un ovni rond, gourmand, avec la blondeur et le pétillant du champagne. En février 2018 se déroulait le congrès national ses sommeliers de France durant lequel la « bière champagne » a été dégustée par des grands sommeliers : « ils étaient tous bluffés ! ».

Bruno MANGIN, précisons-le, est un fidèle du SAVIM depuis 1994. Depuis lors, il a été présent à toutes les éditions d’Automne et de Printemps.



Interviews et actualité du salon SAVIM Marseille Automne 2017


19/11/17 : INTERVIEW : ACETAIA DI MONTALE RANGONE

Vinaigre Balsamique

Stand Hall 2 - A3

 

La vinaigrerie Balsamique « Acetaia Di Montale Rangone » est située à l'extérieur de Modène, dans la région d'Emilia.

 

Si le vinaigre dit Balsamique est à la mode depuis quelques années au point de le trouver dans tous les rayons des grandes surfaces, le vrai, l’unique, celui de Modène en Appellation d’Origine Contrôlée ou en IGP, est rare et encore plus lorsque l’on parle de vinaigre Balsamique de plus de 20 ans.

 

Le goût est unique et très éloigné du vinaigre Balsamique de la grande distribution qui fait d’ailleurs controverse en la matière. Le vrai vinaigre Balsamique a minimum 4 à 7 ans et doit être validé par un consortium de producteurs créé en 1979 pour protéger ce produit rare du terroir italien.

 

Vous trouverez sur le stand Acetaia Di Montale Rangone des vinaigres balsamiques de Modène uniques et rares, dépassant 50 ans d’âge. Mais aussi des vinaigres plus jeunes et plus abordables, ainsi que des crèmes de Balsamique et du vinaigre Balsamique blanc.

 

Depuis 5 générations, la famille Rosi perpétue un savoir faire traditionnel reposant sur l’utilisation et la transformation de matières premières nobles et locales.


Le vinaigre de la famille Rosi travaille d’abord dans des cuves antiques pour vieillir dans de petits tonneaux faits dans des bois de chêne, de châtaigne, de mûre, de genévrier et d’acacia.

 

La gamme de vinaigres de l’Acetaia Di Montale Rangone est constituée de Vinaigre Balsamique de Modène IGP (Indication Géographique Protégée) et le vinaigre Balsamique Traditionnel de Modène P.D.O. (Appellation d’Origine Protégée). Egalement une gamme Bio résultant d’une culture bio du raisin dont le moût sera utilisé pour faire le vinaigre.

 

Ce vinaigre Balsamique de Modène est caractérisé par la grande qualité des matières premières utilisées et par l'absence totale de teintures et des conservateurs. Il est issu des cépages Trebbiano, Lambrusco, Sangiovese, Albana, Ancellotta, Fortana, Montuni.

 

Tous les lots sont approuvés par le Consortium du Vinaigre Balsamique de Modène.


19/11/17 : INTERVIEW : LES GLACES DE LA MAISON CASALINI

Stands U7

 

La glace… le dessert qui rallie toutes les générations autour du plaisir, de la convivialité, et du goût. La maison Casalini n’est autre qu’une incarnation du goût et du partage de la glace à l’italienne, et aujourd’hui à l’international.

 

Les frères Antonio et Luca Casalini, maîtres artisans à la confédération des pâtissiers italiens, perpétuent une tradition familiale née en Toscane en 1962. Les recettes ont été transmises, améliorées, repensées pour que les parfums soient fidèles et authentiques, que les sucres et les matières grasses soient justement dosées et ne prévalent pas.


Antonio Casalini dit « une glace qui vous laisse la sensation d’avoir du gras sur les lèvres et qui vous donne soif n’est pas une bonne glace ».

 

L’approvisionnement en matières premières se fait exclusivement via les circuits courts. La sélection des producteurs est rigoureuse et tous les produits sont goûtés et testés pour assurer une constance et une excellence du goût tout au long de l’année.

 

« La noisette du Piémont n’a pas le même goût dans la vallée qu’à 600 m d’altitude. A 600 m c’est de la noisette IGP. Tout entre en ligne de compte. » affirme Antonio Casalini.

 

La maison Casalini s’adresse au grand public lors des salons mais surtout grâce à leur boutique à Fuveau, où vous pouvez déguster des glaces ou des pâtisseries glacières sur place ou à emporter. La raison d’être de la boutique est « d’avoir le plaisir de faire plaisir » et « de faire découvrir une glace rare mais qui se veut accessible à tous ». Bien que la maison Casalini s’adresse également à de très belles tables, la volonté est clairement affichée : « conserver la simplicité qui planait dans le bar glacier de mon père et ma mère ».

 

Retenons que chaque mot d’Antonio Casalini reflète le lyrisme que l’on retrouve dans tout art poussé à haut niveau. A la maison Casalini, ce n’est pas uniquement le goût, c’est aussi la musique de l’accueil du cœur d’une grande famille et d’une passion… de faire plaisir.

 

A déguster donc sans attendre.


19/11/17 : LA PROVENCE du 19 novembre salue à nouveau le SAVIM !


19/11/17 : INTERVIEW : DES NOUVELLES DES SALAISONS DU GOLFE

Stands E7 - F8

 

Cette année, deux nouveaux produits de la mer fumés :
- La Roussette, autrement appelée Saumonette, finement travaillée sur le ventre.
- La Daurade Coryphène, offrant une véritable douceur en bouche.

 

Pour découvrir ou redécouvrir "les salaisons du Golfe", vous pouvez visionner une interview sur Youtube en tapant « SAVIM les salaisons du Golfe ».

 

Bonne dégustation.



18/11/17 : INTERVIEW : SARDINAS AHUMADAS SIETEMARES

FILETS FUMÉS DE SARDINE, THON, ESCOLAR, SAUMON, ESPADON

 

La maison SARDINAS AHUMADAS, basée à Valencia (Espagne) est spécialisée dans le fumage de filets de poissons au bois de hêtre.


Les poissons sont issus de la pêche locale. Les filets sont levés à la main et conservés dans l’huile d’olive vierge.

 

Les savimeurs de la 22e édition d’automne se souviennent peut-être de leur première visite lors de laquelle ils ont pu découvrir les filets de sardine.

 

A l’origine, la recette est d’Europe du Nord.
La maison Sardinas Ahumadas a repris cette recette et l’a adaptée à la clientèle espagnole dans un premier temps, puis au marché international auquel elle s’adresse également, en souhaitant conserver une taille humaine.

 

Tout a commencé avec la sardine. La maison Sardinas Ahumadas en a sublimé le goût au point de proposer un produit d’une rare finesse que l’on peut considérer sans aucun doute comme une véritable délicatesse. A déguster nature, sur toast ou en salade, les sardines se conservent jusqu’à 3 mois après ouverture, en les laissant dans leur huile.

 

C’est ensuite que d’autres poissons plus fins ont été travaillés de la même façon que les sardines. On y trouve le thon, le saumon, l’espadon et l’escolar.


Un véritable festival de finesse, tout indiqué pour les apéritifs.

 

A déguster dans le hall 2, stand U10.

 

Pour en savoir plus : http://sardinasahumadas.com


18/11/17 : INTERVIEW : CELLIER DE REVIGNY Moelleux de Fraise, jus de fruits

En Europe, on peut l’appeler le vin de Fraise.
En France, on se contentera légalement d’une appellation de « Moelleux » de Fraise.

Pourtant les processus de « fraisification » et de « vinification » sont quasiment identiques. A cela près qu’il s’agit de 100% de fraises et non de raisin.

 

Un richesse de plus en France. 3 producteurs en France, 5 dans le monde.


A l’origine fraisiculteurs depuis 30 ans, le vin de fraise est né il y a vingt ans. Plus de 5 ans de recherche et développement pour mettre au point une petite merveille.

 

3 déclinaisons vous sont proposées par le cellier :
- La version naturelle
- La version élevée en fût de chêne
- Le pétillant

 

Le « Moelleux » de Fraise fera un parfait apéritif, doux (12,5°) et frais, notamment dans sa version naturelle ou pétillante.

 

Le moelleux, élevé en fûts de chêne, confère une douceur et une pointe de vanille qui sauront accompagner de façon surprenante une salade de mâche, de roquette ou un plateau de fromages. A vos idées et vos mariages de saveurs.

 

Naturellement, vous trouverez également des sirops de fraise, de framboise, de groseille, ainsi qu’un jus de framboise juste...merveilleux.

 

Pour en savoir plus, le Cellier de Revigny, site internet :
http://cellierderevigny.com/le-cellier/

Profitez-en pour regarder la petite vidéo de présentation.

 

Bonne dégustation (avec modération).


18/11/17 : INTERVIEW : Victor DELPIERRE, la maturité d'une jeunesse de génie

Des spiritueux uniques, des cafés authentiques, des cocktails « world champion »

 

Victor Delpierre a 30 ans et voici les prémices de ce qui vous donnera envie de le rencontrer :

- 2013 - Champion du Monde « Coffee In Good Spirits ».
- 2011 - 1er prix « Best Mojito Paris ».
- 2007 - Champion de France « service en salle ».

 

Au-delà de son palmarès impressionnant, Victor Delpierre a une véritable démarche professionnelle issue de son parcours passionné autour du café et du cocktail : transmettre, informer et apporter le meilleur sur votre table, qu’elle soit de fête ou non.

 

Comment ? De deux façons :

 

- Il vous présente une gamme de Rhums, Rhums arrangés, Gin primés et préparations pour cocktails, fruits d’années de recherche et de voyages. Le tout à des prix très abordables avec une promotion spéciale SAVIM. Si vous le souhaitez, il vous élaborera un cocktail sur mesure en fonction de vos goûts.

 

- Victor Delpierre est passionné par le café et stimulé par une volonté : permettre que le café devienne un moment de dégustation à part entière de notre repas. Dans ce sens, il a créé des cafés signature pour des chefs trois étoiles Michelin. Mais il a également pensé à nous, buveurs de café à la maison, en créant une gamme en vrac ou en capsules, issue d’une sélection rigoureuse et de mariages heureux et merveilleux de grands crus. A acheter sur le salon ou à commander en ligne.

 

Pour en savoir plus sur un personnage hors du commun : www.victordelpierre.com


17/11/17 : INTERVIEW : La fromagerie Royale de Laurène LATASTE présente le Brie de Meaux, roi des fromages, en version rouge et noire

Laurène LATASTE emmène le Brie dans l'écrin de la rareté

 

Laurène Lataste, fille d'Hugues Lataste, grand maître fromager (Domaine Marayn de Bartassac) a reçu de ses parents la passion des fromages depuis sa plus tendre enfance.


A 36 ans, elle effectue une reconversion spectaculaire en créant la Fromagerie Royale pour mettre en pratique ses talents « d’affineuse ». Laurène Lataste nous propose le roi des fromages : le Brie de Meaux au lait cru AOP produit par la maison Dongé.

 

Mais pas n’importe lequel ! Le Brie rouge (qui n’est autre que celui que nous connaissons tous) mais aussi et surtout le Brie noir. La différence : 15 mois d’affinage, un soin quotidien et une grande rareté sur le marché des meilleurs fromages du monde.


3 producteurs de Brie de Beaux noir au lait cru en France ! La Fromagerie Royale a choisi l’exception en devenant le 4e affineur français de Brie de Meaux noir.

 

Venez vite découvrir cette merveille qui vous surprendra à coup sûr. Vous pourrez aussi déguster le petit frère affiné 9 mois. Une explosion en bouche qui mérite le détour, à n’en pas douter.

Pour les plus traditionalistes d’entre nous, et il en faut, des Bries affinés à partir de 4 semaines vous sont proposés à la dégustation.

 

A retenir : le Brie de Meaux Noir se conserve presque sans limitation de durée (sous certaines conditions).

Une raison de plus de faire durer le plaisir.